Itea - Lamia

En bus, ouf. Ce n'était pas gagné du tout. On quitte notre appartement vers 10h pour attendre le bus qui devrait prendre nos vélos en soute pour passer deux cols à gros pourcentages et arriver à Lamia.

Donc longue attente en terrasse en front de mer. En compagnie de nombreux locaux en famille ou pas, qui discutent des heures devant leur café et verre d'eau. Ambiance tranquille, aucun serveur pour nous houspiller, accès aux toilettes, on grignote.

Les pêcheurs locaux vendent leurs poissons qu'ils préparent pour leurs clients.

L'heure du départ approche.

Et ... les chauffeurs tordent un peu le nez mais ça passe. Je démonte les roues avant. Les soutes sont assez petites dans ce bus un peu âgé. Heureusement il n'y a pas trop de monde. J'entasse comme je peux, ça rentre. Ouf on part.

La route est très rude, somptueuse, encaissée.

Arrivée dans la très grande ville Lamia. Aucun intérêt touristique, même pas en bord de mer.

Hôtel deux étoiles, hum.

Où garer nos vélos ? L'accueil est sympa mais pas très motivé pour nous donner un emplacement simple. Donc on est autorisés à les monter dans la chambre. 3e étage, ouch, on échange avec le second. Les vélos ne rentraient pas dans l'ascenseur, bonne suée.

Dimanche soir, beaucoup de commerces fermés, restaurants pareil.

On aboutit dans un fast food a la grecque, brochettes, frites bof

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Au lit. Demain on roule, enfin.