Faux départ, la trace nous intime de passer sur la plage, dans le sable. Pas question.
Ensuite on longe le lido, sable et sable .
Station balnéaire sans intérêt. Ça ressemble bien à ce que notre bon maire de Sète aurait voulu faire sur le Lido entre Sète et Agde.
Une route, des immeubles avec plein d'habitants, plein de voitures, le rêve.
Ici c'est ça en plus pauvre.
La plage a disparu, effet de l'érosion ?
Du coup on arrête de suivre la côte et on repart vers l'intérieur. On retrouve les serres les camions, la ville pénible.
Du traffic et enfin un itinéraire bis, par une petite route sympathique, ouf. En plus c'est globalement plat, pour la première fois depuis longtemps.
Un symbole de la Sicile: ici c'est chez moi.
Il n'y a rien qui justifie ce portails pas de bêtes pas d'habitations. Rien.
Comme on a changé nos plans, arrivée dans un agricampeggio super tranquille. Pas de camping cars, quelques tentes et voilà.
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