Repas à l'ombre. Le classique : graines tipiak, boîte de thon à l'huile.
Le clocher sonne les heures deux fois, et les demi-heures aussi. Jusqu'à 23h, on a le temps de bien profiter. On est deux au camping, une famille en mobil home qui s'en va et moi qui pars à 8h30. Toujours personne à l'accueil. Je laisse un SMS mais pas de réponse.
J'ai concocté un trajet par des petites routes avec un peu de dénivelé. Hum hum, comme d'habitude le terrain s'avère très très rude.
Un vague sentier qui se rétrécit et monte de plus en plus fort. Je pousse difficilement.
De plus en plus dur, je ruisselle, rythme cardiaque un peu fort. La seule solution : enlever les sacoches, porter sur 200m, rechercher le vélo, reporter les sacoches, etc.. sur plusieurs kilomètres.
Ça m'a fait penser au Chili, après villa O'Higgins, le portage sur la piste.
Mais là il faisait tellement chaud.
Qui finit par être goudronnée en rejoignant une vieille ferme abandonnée.
Enfin le "plateau" très vallonné.
Dans un village un point d'eau fraîche. J'en ai bu au moins un litre, refais le plein, reparti pour une partie encore agitée.
Le but: une "aire de loisirs " = camping/ mobil homes, piscines, toboggans. Yes? Heu la piscine ouvre demain.
Le village n'a pas de café, juste un tabac/épicerie. Ça marche. Et voilà, en principe pas d'orage.
Ouh là là, vraiment rude aujourd'hui!
RépondreSupprimerKeskispass?
RépondreSupprimerCoucou on te suit... Bravo ! quel courage ! par cette chaleur... Nous on part demain rejoindre Mio Palmo... J'emporte le vélo !! Mais rien de prévu avec lui peut être en septembre !!! On t'embrasse... Bisous
RépondreSupprimerKecepastil?
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