Pompignan-Sète fin

 Après une bonne nuit et discussions avec Elize, départ tardif pour Montpellier.

 

Les petits oiseaux en terre cuite, fixés dans le mur de la ruelle.

 

La montée sur le plateau peut être dangereuse: les gars tirent les sangliers avec des balles. Portée = 2km. Mais ils sont prudents puiqu'ils préviennent que tu vas mourir. Cool.

Enfin arrivé sur le plateau. Je décide de foncer sur la départementale assez chargée. Arrivée à Montpellier Nord, tiens je tombe sur une 4 voies. Demi-tour, route de Mende nord des facs. Tiens route barrée (travaux du tram ligne 5). Déviation, les vélos oubliés, je monte sur la route très étroite au zoo de Lunaret, suivi par un bus.

Quartier des facs en pleins travaux, vélo débrouille toi. Et puis le bonheur = les pistes du COVID;

Et j'ai fait une montée que je croyais ne jamais réaliser à vélo: avenue de Toulouse vers le grand M. Une 4 voies chargée. Et non! À la fureur des automobilistes, 2 voies supprimées, et la montante réservée aux seuls vélos. Du coup, l’argument est "Ça crée des bouchons!". Ouais, ce sont les vélos qui créent des bouchons. Sans blague.

 

Ensuite, le trajet habituel pour rentrer à la maison via les pistes qui longent le lido. Mais pas si cool que ça. Cathy est stressée par l'arrivée du plombier qui doit réparer la chaudière neuve (plus d'eau chaude! et il n'arrivera pas à fixer le pb. Donc à suivre.) 

Je fonce, assez fatigué. Chemin faisant je double 2 cyclistes autrichiennes, chargées à mort de bagages, tentes ...jeunes et charmantes. Je les invite à séjourner chez nous. Mais un gars qui invite 2 jeunes filles, c'est louche. Je prononce les mots magiques "warmshower", et surtout je préviens Cathy au téléphone. Ok.
Ce sera très sympa.

Essai de l'ukulélé qu'elles transportent. Un modèle pas cher du tout (~30€), en principe pour s'entraîner et apprendre durant leur long voyage depuis l'Autriche jusqu'au Portugal. En pratique, trop de fatigue le soir.

Voilà, c'est fini. Des étapes un peu dures sur la fin,...