D'abord le bus à Ushuaia. J'y retrouve par hasard Jérémy.
Il accompagnait un copain cycliste. Malgré les différents bruits, je peux mettre mon vélo en soute. Juste donner 10€ au chauffeur.
Punta Arenas, vent terrible.
Achat des billets d'avion, recherche d'un carton chez les marchands de vélos, retour à l'hôtel en portant le carton, et ....
Ça y est, un tour au musée,
Un tour au marché
Taxi à 6h du matin,
Ça a l'air de bien se passer
Et puis attendre à Barcelone que mon carton sorte!
Fin du voyage, Jean et Elisabeth, super sympas, sont venus me chercher pour me conduire à Port-Vendres.
Je suis arrivé. Cathy me retrouve, et on rentre en Ter à Sète. Voilà, clap de fin.
Oh ben quelle déception, ça a l'air d'avoir été trop facile!! Pas de nouvelles depuis une semaine, je m'attendais au pire! Bon retour à la maison en tout cas, bonne récup surtout, parce que visiblement c'était pas de tout repos!
RépondreSupprimerMerci Claire. A bientôt, à vélo évidemment.
RépondreSupprimerBravo ! sacré aventure et sacrés étapes ! Il va falloir qu'on s'organise une soirée pour que tu nous racontes de vive voix et qu'on échange nos souvenirs, les moins bons, de vents et de ripio et les meilleurs. À bientôt !
RépondreSupprimerChapeau bas Jean François tu nous impressionnes
RépondreSupprimermerci pour le blog ..africa wait you..
RépondreSupprimerMerci Jean-François pour m'avoir passé ton lien et fait suivre cette énorme aventure palpitante... presque comme si j'y étais... même si je ne suis pas vélocipédiste émérite (ni même vélocipédiste tout court 😂)
RépondreSupprimerTu racontes re bien (prononcer rrrébienn'), comme disent les argentins, les photos sont superbes, et quels paysages mazette ! Et puis, j'ai retrouvé la région des lacs, celle de El Chaltén, El Calafate, le Fitz Roy, les paysages de steppe et routes sans fin, et le ripio (en voiture, moins pénible certes !)... Che, on a bien eu de la chance d'avoir échappé à ces vents fous !
Quel voyage ! Chapeau bas, l'artiste !
PS Quand on y était en novembre, l'euro était à 950 pesos, et toi, en décembre, à 1400 et quelques ... Dur dur pour les Argentins !
Hélène
Merci Hélène,
RépondreSupprimerÀ bientôt, à Banyuls plus sûrement qu'en argentine.
Maintenant, c'est repos?
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