On rejoint la grande route, camions, camions, camions.
Même si, sur les photos, on attend qu'il n'y ait plus de traffic.
Toutes les "activités" à touristes sont concentrées autour de cette route: parking blindés pour faire 200m à pied et voir le lac/le parc à husky/le restaurant qui vous accueille/le point de vue où on vous invite à faire une photo.
Des dizaines de voitures/4x4/pickup de luxe se garent, se croisent. C'est à pleurer.
Ushuaia, enfin.
Je m'attendais à une petite ville "du bout du monde". C'est un grand port de porte-conteneurs, avec les camions qui vont avec, un port qui accueille les navires de croisière (cap Horn, glaciers, ...).
Et les propositions touristiques.
On fera la traditionnelle photo.
Voilà, c'est la fin.
Ce soir on se lâche : bodegón fueguino, conseillé par Jean et Elisabeth. Haaaa.
Ça se mérite, il est 7:40, le bodegón ouvre à 8h.
Mais c'est vraiment une bonne adresse, service super rapide et sympa. Enfin de l'agneau qui n'est pas de la semelle.
Ça nous change des nouilles chinoises.
Quelle est la suite, tu rentres ou tu traverses ?
RépondreSupprimerJe suis vraiment très fatigué. Je rentre.
RépondreSupprimerLe bodegón super mais blindé. La queue pour entrer !
En plus le retour n'est pas facile du tout
Bus , hôtel, préparation du vélo a mettre en carton, avion, avion, hôtel, train, train.
C'est pas gagné, et j'ai un peu ma dose....
La logistique semble aussi être une sacrée épreuve.
SupprimerAprès un tel entrainement, je pensais que ce serait un retour en pédalo jusqu'à Sète
RépondreSupprimerOn envisage de venir te chercher à Barcelone mais pas le matin du 1 février j' ai un rdv
RépondreSupprimerTu nous dis
Super sympa
SupprimerJ'arriverai, si tout va bien, le 3 à 17h
Mais je peux tenter de prendre le train jusqu'à port bout, a voir....
hip hip hourra ! tu l'as fait, chapeau !
RépondreSupprimerAlain
Merci Alain. Je t'avoue que j'ai ma dose. En plus Ushuaia n'est pas l'endroit rêvé. Maintenant l'épreuve suivante est la rentrée en France. Pas si simple.
SupprimerClaire
RépondreSupprimerBravo, quelle aventure! C'est bien compréhensible que tu aies envie de rentrer après tout ca... bon courage pour le trajet du retour!
SupprimerMerci Claire. J'ai roulé avec une allemande de ton âge (?) qui roule comme toi en solo. Mais jamais de bivouac! Pas comme toi donc. Comme quoi tu n'as pas encore convaincu tout le monde. Bises.
SupprimerFélicitations ! Bon retour ! Solange
RépondreSupprimerMerci Solange. On se voit dès que possible. Bises.
SupprimerChapeau bas pour ta performance sportive, physique et mentale et merci pour tous ces petits récits qui font la "route" et ces belles photos. Prêt pour les cols de Colombie ?
RépondreSupprimerBon retour. JM
Je suis déjà invité à faire du vélo en Colombie par Carlos, mon co-cycliste de ces derniers jours
SupprimerEt pour le côté sportif ou physique, ça compte évidemment, mais beaucoup moins que le côté mental, en tout cas pour ce qui me concerne.
SupprimerIsa Vilarem
RépondreSupprimerBravo bravo bravo JF pour cet exploit physique et mental!! On est contents que ça s’arrête!! Ce vent incessant et ce ripio commençaient à nous fatiguer !
SupprimerTes photos de ces paysages Splendides vont nous manquer .
J’espère que ton retour à Sete va être simple et fluide et que la tramontane ne sera pas au rendez vous ! Bisous
Merci Isa. Simple et fluide, pas vraiment. Pour l'instant, étape 1 pk. Bus avec le vélo en soute (c'était pas gagné), et arrivé à Punta Arénas. Billets d'avion ok, taxi ok, carton pour le vélo arraché de haute lutte au deuxième vendeur de vélo avec un transport épique jusqu'à l'hôtel.
SupprimerDemain le grand jour, avion -> Santiago, puis avion ->Barcelone.
Ouch.
Bises.
Et après? Une rando kayak en vue?
RépondreSupprimerBon pour l'instant pas de planification. Mais pourquoi pas. Avec mes amis kayakistes, un morceau tranquille de Céphalonie, la mer des petits marins? Ou bien un bout d'Europe de l'est, ou bien un bout de Turquie..
RépondreSupprimerOu alors canapé+ netflix? Qui sait?
Je pourrai venir? (pas sur le canapé)
RépondreSupprimerMoi je veux bien, mais qui es tu?
SupprimerOuf ! De retour en France. Tu l’as échappé belle avec tous ces incendies au Chili , renforcés par le vent violent que tu nous as si bien décrit.
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