On a parfaitement dormi près du Lot, au bivouac. Pas de bruit, pas de lumières. Du coup on est partis tard avec un programme chargé ? D'abord le plein d'eau et les toilettes. On connaît le camping complet, on y repasse. Parfait.
Ensuite se frayer un passage au milieu de la folie automobile, voitures garées sauvagement, à la sétoise, partout. Au point que les habitants mettent des bouts de ficelles devant chyeux pour empêcher les sauvages.
Ensuite, notre trace indique zéro commerces sur le trajet, ou alors ouverts à partir de 15h. Donc on se charge à la supérette locale.
Démarrage réel pour une journée annoncée caniculaire. Ce sera le cas, on roulera par 40°.
Au début ça se passe plutôt bien, pas trop de traffic, profil roulant.
Paysages agréables. Et puis ça se gâte terriblement, une très longue côte à plus de 15%, sans répit, en pleine chaleur, 38° à ce moment là.
Ouch. Même Cathy poussera sur une faute de conduite, impossible de redémarrer.
On finira rincés, transpirant. Puis la descente et un bar accueillant.
Pique-nique au milieu et ... ennui matériel. Le porte bagage AR de Cathy se dévisse encore. J'enlève la roue arypiur resserrer tout ça. On est au bord du Doudou, et, à quelques mètres des sangliers viennent se désaltérer.
Puis très roulant, mais extrêmement chaud, plus de 40°. On roulera doucement jusqu'à l'horreur finale : la montée vers Conques.
Notre réservation Booking est tout en haut, accessible seulement à pied.
En nage, on transporte nos bagages par les escaliers finaux, on laissera les vélos dehors attachés.
Batterie en charge, douche, lavages, visite de la cathédrale et ... bières bien méritées.
Ouh la la dire journée!
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