mercredi 7 juin 2017

J29 voyage de retour: Zadar-Montpellier

Après le très grand succès du ferry, le retour en train a été plus agité, comme prévu.
Donc arrivée à Ancone parfaite, billets OK. 3 trains en Italie, et à chaque changement, portage des vélos dans les escaliers souterrains, recherche du quai, et quand le train arrive, course vers le wagon de queue où se trouve le compartiment réservé aux vélos.



Lors du dernier transfert, pas de chance, partie réservée aux vélos fermée à clé. On a géré avec le couloir...
Hôtel à Ventimille juste en face de la gare, restaurant, et lever 4h pour assurer un départ sans billet à 5h19.
Partie française bien plus agitée. À Menton, les policiers français investissent le ter en nombre, pour déloger de jeunes immigrés clandestins, afghans, Érythrée, le tout au faciès. On ne nous demande rien ! Tout se passe "correctement", ie sans brutalité, mais ambiance lourde, doublée par un déploiement ahurissant de contrôleurs et personnels musclés de la Sncf. Au moins 10 personnes passent et repassent.
À Nice, on a juste 30 minutes de battement, la gare n'a pas subi de bombardement récent mais c'est tout comme : tout est cassé, câbles apparents, moniteurs vidéos en panne. Beaucoup de passagers habitués à l'air fatigué, 6h15. Un ter qui lui a beaucoup vécu : porte étroite qui laisse à peine passer une grosse valise ou des vélos, 2 marches hautes entre le quai et le plancher du train. Un peu la honte.
Pas de photo, trop de stress.
Le pire est à venir: Marseille-Montpellier, un ter qui paraît sympathique au début.

Mais qui se remplit, et devient archi bondé. C'est habituel paraît il.
Arrivée à Montpellier, mauvais quai, escalier roulant  en panne, ascenseur trop petit, escaliers en travaux. Classique.
Et finalement, la maison, ahhhh.

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