Mercredi 16 août, pour éviter le traffic odieux sur les routes. Mouais, c'est encore la fête du camping car.
Après un lever tardif, chargement sans problème des sacoches et des deux longs sacs qui contiennent la tente et le matériel de couchage.
Après quelques km, j'observe une grosse erreur dans le serrage de roue de Cathy. Aïe, ma faute. Demi-tour, je me retape la violente côte dite des Gardettes.
Bon, 30 minutes après, deuxième départ pour une longue côte vers Alzon.
En haut de cette côte il y a un tunnel long de 300 mètres et... interdit aux vélos, c'est classique, on a déjà connu la chose en Norvège. La solution est la petite route bien pentue qui serpente et passe au dessus de la colline que le tunnel évite.
Bon, résultat : on arrive sur la placette d'Alzon vers 12h30. On déjeune classique avec du jambon bien chaud, du fromage pareil. Mais ça on connaît bien.
Petit café quand-même, avant la montée du col de la Barrière, rien de redoutable, puis la descente sur Sauclières. On quitte la route pour aller au cœur du village qui prépare activement la fête votive, le bar, les costumes.
On était attendus dans ce bar de village, le quart Perrier à 3 euros, ouch.
Petite montée et la grande descente sur Saint Jean du Bruel. On prend la minuscule route rive gauche de la rivière, absolument magnifique.
À Nant on atterrit au camping familial très sympathique.
Tente, douche, lessive. Le grand classique. Puis à pied vers Nant qui est parcourue par de nombreux cours d'eau canalisées.
Bon, évidemment, des centaines de touristes comme nous. Cafés, restaurants envahis. Artisanat hum hum. C'est la loi du mois d'août, les vendanges Cevenoles.
Après un lever tardif, chargement sans problème des sacoches et des deux longs sacs qui contiennent la tente et le matériel de couchage.
Après quelques km, j'observe une grosse erreur dans le serrage de roue de Cathy. Aïe, ma faute. Demi-tour, je me retape la violente côte dite des Gardettes.
Bon, 30 minutes après, deuxième départ pour une longue côte vers Alzon.
En haut de cette côte il y a un tunnel long de 300 mètres et... interdit aux vélos, c'est classique, on a déjà connu la chose en Norvège. La solution est la petite route bien pentue qui serpente et passe au dessus de la colline que le tunnel évite.
Bon, résultat : on arrive sur la placette d'Alzon vers 12h30. On déjeune classique avec du jambon bien chaud, du fromage pareil. Mais ça on connaît bien.
Petit café quand-même, avant la montée du col de la Barrière, rien de redoutable, puis la descente sur Sauclières. On quitte la route pour aller au cœur du village qui prépare activement la fête votive, le bar, les costumes.
On était attendus dans ce bar de village, le quart Perrier à 3 euros, ouch.
Petite montée et la grande descente sur Saint Jean du Bruel. On prend la minuscule route rive gauche de la rivière, absolument magnifique.
À Nant on atterrit au camping familial très sympathique.
Tente, douche, lessive. Le grand classique. Puis à pied vers Nant qui est parcourue par de nombreux cours d'eau canalisées.
Bon, évidemment, des centaines de touristes comme nous. Cafés, restaurants envahis. Artisanat hum hum. C'est la loi du mois d'août, les vendanges Cevenoles.
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