Une journée très chaude, plus de 35°. La route longe le Tarn, mais s'éloigne parfois de la rivière pour monter dans les falaises. Rien de terrible, mais comme il fait chaud, chaque mètre se gagne en transpirant.
Au début, vers 9h on est seuls sur la route, à peine un camion de livraison de produits frais qui roule comme un taré sur cette route sinueuse où on peut se retrouver face à un camping-car ou à un remorqueur de canoës.
Petit arrêt café à la Malène. Notre camion est arrivé, il livre en créant de beaux embouteillages. A suivre.
En route vers Ste Enimie.
Sur cette route étroite un bel embouteillage: notre camion a heurté une remorque de canoës, renversé une moto. Pas de blessé, mais route bloquée. Nous, on passe, tranquilles.
À Ste Enimie, au milieu de centaines de touristes. C'est rude, on mange à l'ombre du pont.
Et on repart bien vite, en plein soleil. Après une rude montée un café / restaurant s'annonce. Super. Le temps de garer les vélos, on rentre: 2 tables, qui entament leur purée saucisse sur des nappes en plastique. La patronne est en cuisine, un peu glauque, et me dit d'une petite voix qu'elle ne fait que restaurant. Pas de chance donc.
Le prochain sera le bon, ouf, il est en train de fermer pour accompagner des belges sur l'eau.
On finira sur la Nationale pour arriver à Florac. Traversée houleuse avec des voitures locales qui tentent sans succès de nous renverser.
Camping familial et charmant au bord du Tarnon.
Au début, vers 9h on est seuls sur la route, à peine un camion de livraison de produits frais qui roule comme un taré sur cette route sinueuse où on peut se retrouver face à un camping-car ou à un remorqueur de canoës.
Petit arrêt café à la Malène. Notre camion est arrivé, il livre en créant de beaux embouteillages. A suivre.
En route vers Ste Enimie.
Sur cette route étroite un bel embouteillage: notre camion a heurté une remorque de canoës, renversé une moto. Pas de blessé, mais route bloquée. Nous, on passe, tranquilles.
À Ste Enimie, au milieu de centaines de touristes. C'est rude, on mange à l'ombre du pont.
Et on repart bien vite, en plein soleil. Après une rude montée un café / restaurant s'annonce. Super. Le temps de garer les vélos, on rentre: 2 tables, qui entament leur purée saucisse sur des nappes en plastique. La patronne est en cuisine, un peu glauque, et me dit d'une petite voix qu'elle ne fait que restaurant. Pas de chance donc.
Le prochain sera le bon, ouf, il est en train de fermer pour accompagner des belges sur l'eau.
On finira sur la Nationale pour arriver à Florac. Traversée houleuse avec des voitures locales qui tentent sans succès de nous renverser.
Camping familial et charmant au bord du Tarnon.
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