vendredi 16 mai 2025

Athènes : pas de tourisme

Un peu de stress pour ce retour, et donc pas de tourisme à Athènes.
Pour commencer, à Larissa, le train prévu ne prenait pas de vélo. Heureusement le suivant accepte, et c'est un spectacle intéressant. Après avoir pris les billets vers 10:30, il faut revenir 30 minutes avant le départ pour enregistrer les vélos : Carnet spécial, 2 feuilles carbone pour écrire plein de trucs dont le numéro du billet. Ensuite photocopie ensuite impression d'un billet, enfin agraphage dudit billet sur le cadre du vélo.
Lors de l'arrivée du train, il y a 3 personnels avec casquette et sifflet qui portent nos velos et nos sacoches dans un compartiment spécial, fermé à clé.
C'est donc l'esprit libre qu'on rejoint nos places. (Souvenir d'Italie où un relou nous avait fouillé les sacoches pour piquer l'électronique, et pas le linge sale. Dans un compartiment réservé aux vélos, mais accessible librement.)

Pour revenir sur cette gare, elle est très agréable: sanitaires parfaitement propres, places partout, 2 bars, des espaces de jeux. Et beaucoup de personnel, dont un policier. Ça calme, ça fonctionne.
Arrivés à Athènes le stress commence: il est tard 19:00, mais plutôt que d'aller directement à l'appartement réservé, on commence la tournée des bike shops. Il nous faut absolument nos cartons d'emballage pour l'avion. Et sur les réseaux on voit bien que c'est la quête du saint graal.
Les premiers magasins n'ont rien, mais tous nous recommandent "serkos bike". Ils ont essayé au téléphone avec leurs copains, rien. Donc serkos, 8h du soir, dans une circulation intéressante.
Le serkos en question a sa boutique dans le quartier piéton au pied de l'Acropole. Autant dire que c'est blindé. On se faufile, 8:15, fermé. Ouch.
Retour a l'appartement.

Aujourd'hui c'est chasse aux cartons, je démarre très tôt, les horaires d'ouverture sont assez étranges du genre 8:00 21:00! 3 boutiques, rien. A la troisième on attend à deux avec un cycliste suisse. On papote, en attendant l'ouverture. Lui aussi cherche son carton. Je suis prem, alors ... Toujours pas de carton. Mais le gars me conseille serkos, encore. Le suisse va aller à Decathlon à 15km.

Bon, route vers Serkos. Super, sympa et il en a plein. Je réserve, retour à l'appartement, et avec Cathy on y retourne à pied pour porter nos cartons à l'appartement. 
Test du métro, trop compliqué avec changements, escaliers escalators. Ça ne va pas le faire avec 2 très gros cartons.
Donc retour à pied en portant les 2 cartons. 35 minutes rudes.

Ci-dessous, le "passage à niveau"! Incroyable, deux barrières symboliques et deux personnels a casquette et sifflet qui gèrent. Ça craint.

Ensuite les courses techniques, rouleaux de scotch, papier bulles, sacs pour faire un seul bagage avec 2 sacoches, cordelette..
Leroymerlin bien sûr !
Enfin quelques démontages classiques, et voilà.
Demain, taxi pour l'aéroport. A suivre.

4 commentaires:

  1. Wow, pas simple ce retour !! Bon courage...

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  2. Galere pour les cartons! On espere que le trajet en avion se passera bien demain...

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  3. J'ai bien lu au début: " Certains prennent l'avion , mais pas top pour la planète". alors?

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    1. Et oui mais il faut tout lire! Cathy est malade, on ne peut pas continuer. Impossible de rejoindre Patras ou igoumenitsa simplement. Voilà.

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