Temps menacant toute la journee, relativement frais, impeccable pour le cycliste. Et au debut ca roule fort. On a 50 kms au coépteur a 10h30. La route est tres paisible, faite sur la digue, qui etait l'ancienne route. Laquelle a ete doublee par une route bien plus large, et parallele. On voit une biche tranquille sur le cote, puis on en debusquera une autre, des buses. Villages sympas.
On s'arrete pour dejeuner: on est seuls, face a une carte incomprehensible. La serveuse ne parle pas un mot d'anglais ou autre langue connue. Le menu est en hongrois. Une copine de la serveuse parle quelques mots d'anglais. Sauves, enfin presque. Pizza se dit ... pizza. Va pour la pizza. Premier choix, aller retour en cuisine = mauvais choix, il n'y en a pas. Deuxieme choix ... ca marche. On en prend 2, mais la copine insiste pour qu'on en commande 3: la troisieme est gratuite. Arrivent 3 enormes pizzas, on laisse tomber la troisieme ... qu'elles voulaient nous voir embarquer sur nos velos!
Tous nos espoirs de cafe internet reposent sur la ville de Kalocsa que je rate, utilisant un raccourci diabolique.
Ferry a Gerjen, qu'on rate de qqs minutes. Le prochain est dans une heure.
Le vent se leve, de plus en plus fort: Nord-Nord-Est, de face donc. Ouch.
La recherche de l'hotel salvateur commence: Fadd, on ne trouve rien, Tulna traverse 3 fois, ville tres longue, renseignements variés (tiens je viens de trouver le é sur le clavier hongrois). Finalement on trouve un hotel super, pas trop cher, internet, garage a vélos: super.
Apres la douche, je fonce sur le pc disponible dans le salon ... fumeur. Occupation des hommes = une biere, une cigarette, une biere, une cigarette, ad infinitum. A deux metres de mon PC. Lequel PC accroche difficilement le reseau, et qund j'ai reussi a ecrire mon texte, ecran bleu. Vive windows.
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