L'atmosphère est étrange, tout est fermé ce Dimanche matin et nous errons à la recherche d'un café ouvert et avec des places à l'intérieur. Pas facile, les pavés sont glissants.
Après beaucoup de détours (Google indiquant ouverts des établissements fermés) on atterrit dans le centre historique.
C'est surprenant, et intéressant.
D'autant que les rues sont piétonnes, et les cars de touristes n'ont pas encore déversé leur cargaison.
Il nous faut patienter jusqu'à 12h pour entrer dans notre Booking.
Intéressant : il n'y a pas de parking pour les vélos. Donc en avant: je monte les deux vélos par 3 volées de marches étroites et des paliers minuscules pour atteindre l'appartement.
Ouf ça y est.
Une fois tout monté, on souffle un peu.
On ressort dans l'après midi en ville: entre pluie forte et pluie tout court. Un peu ras le bol de dégouliner, on rentre à l'abri. D'autant que chaque église, chaque porche, chaque entrée se visite avec un tarif ... intéressant : 15€ / personne pour la cathédrale, 2.5€ pour une petite église. Hum.
On a pu noter une très grosse différence de comportement des automobilistes entre la Sardaigne, où ils sont calmes, tranquilles, respectueux des piétons et cyclistes.
Ici, c'est la sauvagerie à l'état pur: voitures garées à la Sétoise, sur les trottoirs et passages piétons, en double file. Les piétons sont parfois obligés de marcher au milieu de la route. En roulant à vélo c'est pire: certains essayent de nous faire une queue de poisson pour se garer, on est klaxonnes assez agressivement. Bref, c'est stressant. On verra ce qu'il en est hors de Palerme.
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