Il fait grand beau temps, pas un souffle de vent, chaud. Je charge tout après un séchage sommaire, pour faire étape à la poste. Je renvoie ma veste chilienne à capuche, trop encombrante, et, j'espère, plus nécessaire.
Ensuite j'ai une bonne dizaine de kms avant d'atteindre la gare de Cannes. En chemin, un détail me turlupine. Où est passée ma veste de pluie, la belle, la essentielle ? Glubss introuvable.Demi-tour au camping, les douches, les toilettes. Ouille. Un petit coup de blues, et, en réfléchissant, peut-être l'aurais je laissée à l'intérieur de la tente en la pliant. Tout déplié et bingo. Ouf.
Deuxième départ pour la gare, en principe l'EV8 passe par là, c'est une horreur.
Dans la gare tout se passe parfaitement avec les ascenseurs. Le train est plein, sans plus et il y a des places vélo à plat dans chaque wagon. Quel progrès.
Et voilà.
Sur la photo ci-dessus je suis en face de la police, version les durs. Ils me foncent dessus pour effacer la photo, je leur montre que c'est un banal selfie, sans eux sur la photo. Ça passe.
Direction le camping sympa recommandé par un coude cyclorandonneurs, l'an dernier.
Ahhh les pistes cyclables.
Malgré la pancarte ouvert, malgré un coup de téléphone, c'est fermé. Il y a des clients à l'intérieur, mais j'apprends finalement que les services ne sont pas disponibles.
Bon, demi-tour vers le "classique" déjà pratiqué 2 fois avec Cathy. En face de la voie de chemin de fer, a coté de la grande route vers Menton.
La propriétaire est super sympa, tout va bien.
Enfin une bonne journée (sauf le coup de stress de la veste "perdue") 😀
RépondreSupprimerya pas de doute, c'est exactement la même place pour la tente !
RépondreSupprimerCathy