Journée de transition entre Tinghir et Ouarzazatte.
Dans mon camping, j'ai cuisiné. Réchaud à alcool, soupe, nouilles aux sardines à l'huile. Miam.
Une excellente nuit, couché 20h30, levé 6h. Sur le vélo dès 7h30.
Je traverse les palmeraies de Tinghir.
La ville est très étalée, touristique (on n'est pas loin des randonnées dans le désert). Courses et c'est parti pour Ouarzazatte en 2 jours, presque 200km.
Ce sera une lente et longue montée sur la nationale, dans un plateau désertique. Mais l'ennemi était de face, fort. Le vent qui désespère le cycliste et abat le moral.
L'étape à vraiment été longue, 100km.
Sur la partie descendante, plein de vélos garés devant l'école.
À chaque fois je croise ces jeunes, qui entrent en classe ou en sortent. Et quand ils sont à vélo je dois me préparer : faire semblant d'être au bout du rouleau (ça c'est facile) regarder dans le rétro, bien préparer mon dérailleur et dès qu'ils approchent à fond sur les pédales. Ensuite il faut tenir le rythme pour les décrocher.
Pareil quand ils me courent à pied. À la longue c'est usant.
En fin d'étape, environ 95km, j'ai visé une auberge présente sur mes cartes. Parfaitement située, elle est... en travaux. Il n'y en a pas de proche. Syndrome Roumanie (pour Cathy) donc demi-tour pour trouver une guesthouse (?), à Tizi. Difficile de voir si c'est ouvert ou pas. Un commerçant m'aide à trouver le propriétaire, Abdou. Super sympa, je suis le seul client. 200dhm la nuit, repas du soir à 18h compris, j'ai choisi mon tajine qui est en train de cuire. Petit-déjeuner compris.
En attendant que la chaudière à bois soit mise en route et qu'elle produire de l'eau chaude, thé, gâteaux.
Douche très chaude. Bon la journée se termine très bien.
En fait, contenter un randonneur cycliste c'est facile: une boisson chaude à l'arrivée, une bonne douche, un dîner simple servi tôt, une nuit tranquille, un petit-déjeuner copieux.
J'ai l'impression de faire une fixation sur ce que je bois et mange, hum.
Dans mon camping, j'ai cuisiné. Réchaud à alcool, soupe, nouilles aux sardines à l'huile. Miam.
Une excellente nuit, couché 20h30, levé 6h. Sur le vélo dès 7h30.
Je traverse les palmeraies de Tinghir.
La ville est très étalée, touristique (on n'est pas loin des randonnées dans le désert). Courses et c'est parti pour Ouarzazatte en 2 jours, presque 200km.
Ce sera une lente et longue montée sur la nationale, dans un plateau désertique. Mais l'ennemi était de face, fort. Le vent qui désespère le cycliste et abat le moral.
L'étape à vraiment été longue, 100km.
Sur la partie descendante, plein de vélos garés devant l'école.
À chaque fois je croise ces jeunes, qui entrent en classe ou en sortent. Et quand ils sont à vélo je dois me préparer : faire semblant d'être au bout du rouleau (ça c'est facile) regarder dans le rétro, bien préparer mon dérailleur et dès qu'ils approchent à fond sur les pédales. Ensuite il faut tenir le rythme pour les décrocher.
Pareil quand ils me courent à pied. À la longue c'est usant.
En fin d'étape, environ 95km, j'ai visé une auberge présente sur mes cartes. Parfaitement située, elle est... en travaux. Il n'y en a pas de proche. Syndrome Roumanie (pour Cathy) donc demi-tour pour trouver une guesthouse (?), à Tizi. Difficile de voir si c'est ouvert ou pas. Un commerçant m'aide à trouver le propriétaire, Abdou. Super sympa, je suis le seul client. 200dhm la nuit, repas du soir à 18h compris, j'ai choisi mon tajine qui est en train de cuire. Petit-déjeuner compris.
En attendant que la chaudière à bois soit mise en route et qu'elle produire de l'eau chaude, thé, gâteaux.
Douche très chaude. Bon la journée se termine très bien.
En fait, contenter un randonneur cycliste c'est facile: une boisson chaude à l'arrivée, une bonne douche, un dîner simple servi tôt, une nuit tranquille, un petit-déjeuner copieux.
J'ai l'impression de faire une fixation sur ce que je bois et mange, hum.
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