Quelle nuit difficile à Ifrane. Il a fait vraiment très froid, gelée blanche le matin, les arceaux de la tente gelés.
Et je m'y suis mal préparé. Pas assez de couches de vêtements sur moi, j'ai fait confiance à mon duvet indiquant la zone d'utilisation de 0 à 5°. Hum. Du coup j'ai mal dormi, et attrapé mal à la gorge. Pas top donc. Je plié dans un froid de canard. Petit déjeuner à l'arrache. J'irai compléter en ville. Ben non, tout est fermé. Je fais quand même la photo du grand hôtel "Chamonix"!
Et je pars pour une longue montée qui m'amenera à presque 2000m. Au départ, gants d'hiver, casquette d'hiver, sous-vêtements mérinos. J'enlève des couches et me change dès que le soleil chauffe.
Je roule dans des paysages rudes et magnifiques.
Arrivé à la seule bourgade intermédiaire, vers 13h30, je m'arrête à la Gare routière. Quel spectacle. Un ballet de bus débarque ses occupants pour une pause grignotage /toilettes/achats. Le bus repart après avoir klaxonne à fond pour appeler ses occupants, un autre bus arrive. Bref c'est très animé. Je commande mon menu classique thé à la menthe, brochettes de viande hachée, oignons, tomates, frites. Surtout ne pas regarder ce que le boucher fait avec ses mains pour faire les brochettes.
Servi avec le pain, sans couverts, sans serviettes. Du grand art.
Courses en ville, car je projette un bivouac en pleine nature. Classique maintenant: les jeunes gens qui tiennent la boutique veulent m'en mettre plein la vue avec leur vieille calculette. Donc 2 bouteilles d'eau, 4 yaourts, une boîte de vache qui rit, ça fait.... 700dhm. Sachant que le repas m'a coûte 40dhm,on sent bien le pb. Donc je rigole, il réfléchit... 60dhm. Mouais, je lui donne un billet de 100, il me rend 60! Le compte est bon.
Ensuite grande montée vers 2000m. Il y a sans doute de la neige en saison.
Il est tard, 16h,le soleil commence à décliner, je sais qu'il va faire vite froid, et je cherche mon point de chute dans cette nature aride.
Bon, pas très glamor, derrière des tas de terre de travaux routiers, en bordure de route mais à côté d'un ruisseau.
Je ante rapidement, je me change en mettant cette fois toutes les couches de vêtements : 2 paires de chaussettes, un sous pantalon, la doudoune.
Puis cueillette de bois, vite le feu pour faire bouillir de l'eau pour la soupe et les nouilles. Rangement et au lit. Pas de réseau, j'écris ce Blog, il est 19h, au lit.
Et je m'y suis mal préparé. Pas assez de couches de vêtements sur moi, j'ai fait confiance à mon duvet indiquant la zone d'utilisation de 0 à 5°. Hum. Du coup j'ai mal dormi, et attrapé mal à la gorge. Pas top donc. Je plié dans un froid de canard. Petit déjeuner à l'arrache. J'irai compléter en ville. Ben non, tout est fermé. Je fais quand même la photo du grand hôtel "Chamonix"!
Et je pars pour une longue montée qui m'amenera à presque 2000m. Au départ, gants d'hiver, casquette d'hiver, sous-vêtements mérinos. J'enlève des couches et me change dès que le soleil chauffe.
Je roule dans des paysages rudes et magnifiques.
Arrivé à la seule bourgade intermédiaire, vers 13h30, je m'arrête à la Gare routière. Quel spectacle. Un ballet de bus débarque ses occupants pour une pause grignotage /toilettes/achats. Le bus repart après avoir klaxonne à fond pour appeler ses occupants, un autre bus arrive. Bref c'est très animé. Je commande mon menu classique thé à la menthe, brochettes de viande hachée, oignons, tomates, frites. Surtout ne pas regarder ce que le boucher fait avec ses mains pour faire les brochettes.
Servi avec le pain, sans couverts, sans serviettes. Du grand art.
Courses en ville, car je projette un bivouac en pleine nature. Classique maintenant: les jeunes gens qui tiennent la boutique veulent m'en mettre plein la vue avec leur vieille calculette. Donc 2 bouteilles d'eau, 4 yaourts, une boîte de vache qui rit, ça fait.... 700dhm. Sachant que le repas m'a coûte 40dhm,on sent bien le pb. Donc je rigole, il réfléchit... 60dhm. Mouais, je lui donne un billet de 100, il me rend 60! Le compte est bon.
Ensuite grande montée vers 2000m. Il y a sans doute de la neige en saison.
Il est tard, 16h,le soleil commence à décliner, je sais qu'il va faire vite froid, et je cherche mon point de chute dans cette nature aride.
Bon, pas très glamor, derrière des tas de terre de travaux routiers, en bordure de route mais à côté d'un ruisseau.
Je ante rapidement, je me change en mettant cette fois toutes les couches de vêtements : 2 paires de chaussettes, un sous pantalon, la doudoune.
Puis cueillette de bois, vite le feu pour faire bouillir de l'eau pour la soupe et les nouilles. Rangement et au lit. Pas de réseau, j'écris ce Blog, il est 19h, au lit.
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