vendredi 2 septembre 2022

J22 La Turquie, rude

Journée difficile. Le ferry bondé, files d'attente interminables, check-in, police,...
Marmaris est une ville surprenante, riche, qui vit du yachting. Nombreuses boutiques de fournitures de bateaux de luxe.
Je tente la carte sim, avec sérieux: partout on doit remplir un document, passeport obligatoire. Perdu, je suis entré le matin et ne suis pas encore dans la base de données nationale. Glubss, il faut attendre... un certain temps.
Bon, la banque, ATM , menus cryptiques, et je récupère un magnifique billet de 100$, inutilisable. Je demande aychanger, impossible. Bon changement de banque, ça finit par fonctionner.
Ouf.
Ras le bol, qqs courses et je pars vers le nord, par l'unique voie possible : une autoroute avec terre-plein central et un accotement convenable.
Mais quel changement avec la Grèce, ici , comme en France, un cycliste n'existe pas. On est klaxonne, frôlé. C'est stressant, surtout sur cette autoroute qui monte sévèrement en plus.
Arrêt reconstituante.
Je décide de quitter dès que possible, pour une "petite" ville, en bord de mer. Perdu. Station balnéaire. Du monde mais ... un camping.
Camping très grand, uniquement des tentes, ambiance sympathique.


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